LES PAYSANS TRAVAILLENT FORT AVEC LEURS FORCES POUR ASSURER LA VIE
JEUNES RURAUX F.T.M.T.K. AMBATOFINANDRAHANA ; NOUS SOMMES AU NOMBRE DE 150 -200 JEUNES QUI SUIVENT LES DIFFÉRENTES FORMATIONS ET ACTIVITÉS.
UN GRAND MERCI A PARTAGES SANS FRONTIÈRES
MARS 2016
Résumé des activités faites avec les jeunes ruraux/F.T.M.T.K/Ambatofinandrahana
Avec PARTAGES SANS FRONTIÈRES
I) — Travail au champ commun ; joie d’être ensemble et c’est une détente pour tous.
Culture de pois de terre (Voanjobory) qui nous a donné une production de 2 tonnes par hectare l’année dernière, nous espérons à avoir plus cette année 2016 parce que la pluie tombe régulièrement.
L’année 2015 ; nous avons gagné 900 kg du riz paddy que nous mangeons pendant le travail au champ commun
II) — LES FORMATIONS POUR LES JEUNES SONT VARIES SELON LES BESOINS ET LA SAISON : Éducation à la vie et à l’amour, gestion familiale simplifiée au moment de récolte, technique agriculture et élevage, savoir vivre….
Nous travaillons avec différentes personnes compétentes pour aider les jeunes ruraux à préparer leur avenir
Éducation et conscientisation à la protection de l’environnement
Formation pratique des outils ; Ex. : pulvérisateur Visite échange au palais à la Capitale — Tananarive
Former et accompagner les jeunes est un service avec amour et courage qui apporte une vie meilleure aux autres
III) — le grenier à riz que nous avons commencé depuis l’année 2014 avec l’aide financière du Partage Sans Frontières (Fonds de démarrage) est vraiment important pour les jeunes et leurs parents d’abord une sécurité alimentaire et une des manières pour résoudre les problèmes au moment de soudure. Nous le continuerons cette année 2016 au mois de mai – juin.
C’est l’endroit de stockage qui nous freine donc nous sommes obliger de compte les nombres de sacs par personne pour que chacun puisse laisser 3-4sacs au grenier avec 60participants.
Grâce à ce stockage, les jeunes et leurs familles ont du riz pour le temps de travail du mois d’octobre – novembre et décembre. Donc nous gardons le fonds pour chaque période parce que l’insécurité en brousse empêche les paysans de stocker leurs récoltes dans leurs maisons. Nous remercions la Congrégation qui nous a libéré une salle pour un grenier pour les paysans que nous accompagnons.
IV) — SUR LA PRESSE D’HUILE DE CACAHOUETES
La préparation des cacahouètes avant de les mettre à la presse (grillage au feu)
Il y a quatre jeunes garçons qui font le tour à travailler à la presse deux jours par semaine. Nous continuerons cette année dès que la récolte de cacahouètes arrive au mois de Juin-Juillet-Août. Nous achèterons les cacahouètes avec l’argent gagné par Partages Sans Frontières l’année dernière pour cette activité. Nous voulons améliorer la qualité de l’huile cette année avec les techniciens locaux qui collaborent avec nous.
Effets et impacts :
C’est une création d’emploi pour les jeunes et aussi ressource financière familiale par la vente des cacahouètes. Cette saison durant la période de la culture de cacahouète la semence était très chère parce que les nombres des paysans qui les cultivent augmentent en trouvant le prix et l’existence d’un marché assuré avec la presse que nous utilisons. Pour la vente de l’huile, les gens du village viennent l’acheter à la maison même. L’existence de cette nouvelle activité stimule aussi les autres à planter des cacahouètes. Nous avons constaté que la réalisation de ce projet a des impacts socio-économiques paysans. C’est un grand changement d’avoir cette machine qui est unique dans notre Région.
Un grand merci à tous qui ont collaboré avec nous pour cette mission auprès des jeunes. Nous souhaitons vivement que nous continuions toujours de cheminer ensemble pour aider et soutenir le désir des jeunes d’avoir une vie meilleure.
Le 11 mars 2016
Sœur Yvette Pascaline